Acheter une voiture d’occasion peut sembler une bonne affaire. Mais derrière un prix attractif, certains pièges se cachent. L’un des plus courants en France : la fraude au kilométrage. Cette pratique consiste à réduire artificiellement le nombre de kilomètres affichés au compteur. Résultat : l’acheteur croit faire une bonne affaire, alors que la voiture est bien plus usée qu’elle n’en a l’air.
L’année 2025 marque un tournant décisif pour le secteur automobile, sous l’impulsion de nouvelles réglementations environnementales et économiques. Entre l’accélération de l’électrification, le renforcement du malus écologique, la fin de la prime à la conversion et la montée en puissance des Zones à Faibles Émissions (ZFE), les automobilistes doivent s’adapter à un marché en pleine mutation.
L’année 2025 marque un tournant décisif pour le monde automobile. L’écologie, la sécurité et les nouvelles normes bousculent les habitudes. Malus renforcé, fin de la prime à la conversion, retour du leasing social, nouvelles règles pour les ZFE… Les conducteurs doivent s’adapter à une nouvelle réalité imposée par le gouvernement.
Sur le marché automobile, certaines choses changent, d’autres beaucoup moins. En France, l’occasion reste une option privilégiée par une majorité d’acheteurs. Et pour cause, elle offre souvent le meilleur compromis entre budget, fiabilité et plaisir de conduite.
Vendre une voiture peut devenir un vrai casse-tête. Il faut fixer le bon prix, rédiger une annonce, répondre aux messages, organiser les visites… Si vous êtes propriétaire d’un véhicule et que vous ne voulez pas gérer tout ça, le dépôt-vente automobile est une solution à considérer.
Depuis quelques années, un petit autocollant s’est imposé sur les pare-brise. C’est le certificat qualité de l’air, aussi appelé vignette Crit’Air. Il classe les véhicules selon leur niveau de pollution atmosphérique. En France, il devient obligatoire dans de plus en plus de villes et de métropoles.